Vendredi 13 et Samedi 14 octobre 2017 - Cauterets - Lac de Gaube - Hautacam
Vendredi 13 et Samedi 14 octobre 2017
Bienvenue à Cauterets, voici l’hotel « Pas de L’ours », qui se situe dans une petite rue non loin du centre. A 19h15, tout le monde est là, nous sommes 17 à nous retrouver, pour cette première soirée, après un petit apéritif et un très bon repas, nous prenons possession de nos chambres.
Vendredi 13 et Samedi 14 octobre 2017
Bienvenue à Cauterets, voici l’hotel « Pas de L’ours », qui se situe dans une petite rue non loin du centre. A 19h15, tout le monde est là, nous sommes 17 à nous retrouver, pour cette première soirée, après un petit apéritif et un très bon repas, nous prenons possession de nos chambres.
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C’est le départ à 9h vers le pont d’Espagne, le ciel est
bien dégagé, ce sera une très belle journée ensoleillée. Au parking du Pont
d’Espagne, (parking gratuit en cette époque). La journée commence mal pour J.J. P. qui se retrouve avec ses chaussures de
ville, celles de la rando étant restées au parking proche de l’Hotel. Une
mission rapide est déclenchée pour récupérer les chaussures (A/R avec Bernard L). Jean-Jacques est maintenant plus randonnable. La rando peut
enfin débuter par une randonnée dite facile du plateau de Puntas (1459 m) vers
le lac de Gaube (1731m ) – Déjà le chemin dans les sous-bois grimpe, la file
s’allonge, il faut bien trouver son souffle. Ce n’est plus la platitude du
bassin. En choisissant, nos pas, nos regards sont sur le chemin, rochers
pierres, racines des pins affleurent le chemin , cailloux blancs (alors qu’à la
Réunion, ils étaient noirs). Le paysage s’apprécie du milieu des mélèses.
Quelques trouées nous permettent d’apercevoir Cauterets déjà bien bas, puis il
suit le gave, traversée de petits cours d’eau ou par des petits ponts puis on rejoint le petit lac des Huats
(1666m). ici pas, ici on est déconnecté, pas de réseau pour en faire profiter la famille. Le lac de
Gaube est magnifique avec le Massif du Vignemal en fond (on a droit à 2 massifs
avec celui qui se reflète dans le lac). Sur le versant au soleil, des izards.
Nous empruntons le chemin qui longe le
lac, de belles cascades s’offrent à nous. voici un bel endroit pour pique-niquer.
Puis nous terminons le tour et reprenons la descente.
Au pont d’Espagne nous reprenons les voitures pour retourner
à l’hotel, que pour quelques minutes afin de prendre des équipements
supplémentaires pour la soirée.
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Nous partons vers la petite station de ski,
rencontrer le guide pour aller écouter le brame du cerf à Hautacam (Champs d’en
Haut) La route sinueuse nous permet
d’avoir une superbe vue sur Tarbes.
Il est 16 h, quand nous arrivons en haut. Le guide Dédé nous
donne des explications sur les bois des
cervidés (bois car ils tombent comment des branches). Il nous montre les bois de
des cerfs, des défenses de sangliers et des squelettes de tête d’Isard)
Il est 16h30, nous marchons pendant 1 heure à travers la
montagne à vaches et à moutons- Nous voyons de loin et aussi grâce aux jumelles
des cerfs et des biches, il fait encore trop chaud. pour que les cerfs fassents entendre leur fameux brame, .
En attendant, cela creuse, les pique-nique sortent des sacs.
Nous prenons la route du retour, on est dans l’ombre et la température baisse, il faut se couvrir. Nous tendons l'oreille, des brames se font entendre, les cerfs enfin se manifestent, et échangent leurs brames, ils jouent leur réputation. Mais nous ne
pouvons les voir. Nous retournons vers les voitures, il est 21h quand nous sommes de nouveau à l'hotel, pour un repos bien mérité après
cette journée intensive.
Il y a différents brâmes selon les phases et les circonstances. En voici la description :
le brâme de présence : court et bref, il n'est en fait qu'un rot grave et rauque,
le brâme de langueur : long, isolé et mélancolique (ouh oâh oh oh),
le brâme de défi : provocation au timbre élevée (ho ho ho oâh),
le brâme de poursuite : cri saccadé émis lorsque le cerf court derrière une biche (heu heu heu ...),
le brâme de triomphe : cri puissant du vainqueur d'un combat.
pour les entendre : http://cerfs.free.fr/brame.php
pour les entendre : http://cerfs.free.fr/brame.php
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Dimanche 15 octobre
2017 - Marcadau - Le refuge du Wallon
Il est 9 h quand nous nous dirigeons vers le Pont d’Espagne,
ça y est c’est parti vers le refuge Wallon dans la vallée du Marcadau (place
du marché: En effet le col situé sur la frontière franco-espagnole constituait un lieu d'échange entre les habitants de Cauterets et ceux de Panticosa dans le Haut-Aragon.) , cette vallée comporte dans sa flore des espèces endémiques. D'abord le plateau du Clot, montée par la rive gauche et traversons des verrous glaciaires (cela désigne la rétrécissement de la largeur et l'élévation du niveau rocheux d'une vallée glaciaire d'une zone qui a le mieux résisté à l'érosion du glacier. ).
Puis le plateau d’Estalounqué (1712 m) (qui est allongé) - en pelouse; Dans les cassures de granit , des pins à crochets; des
pins sylvestres à l’écorce rose orangé sur les pentes ensoleillés. Des
rhododendrons furigineux. , puis nous traversons le plateau à la confluence des
gaves d’Arratilles et du Marcadeau – Le pont de Cayan nous permet de rejoindre l'autre rive. La montée ensuite et se faufile au milieu de gros blocs de rochers, cela nous amène au refuge du Wallon à
1865 m, il est à l'entrée du cirque du Marcadau. Le paysage est magnifique. Nous nous arrêtons pour pique-niquer au soleil à proximité d’une petite
chapelle des années 60. La descente du retour se fera sur l’autre rive, au
total 15 km
Et avant de rentrer, nous nous désaltérons sur la terrasse
du refuge du Clot.